#ne te retourne pas
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Sophie Marceau and Monica Bellucci in Ne te Retourne Pas, 2009
#monica bellucci#sophie marceau#ne te retourne pas#2009#don't look back#dont look back#ladiesofcinema#userladiesofcinema#belluccidaily#dailywomen#monicabellucci#vanessa#userklaudia#flawlessbeautyqueens#wonderfulwomendaily#breathtakingqueens#glamoroussource#movies#*gifs#*#m!lfsource#userlau#userstream#userrobin#usergif#french cinema#french films#italianstream#italianedit#italiansedit
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Un touriste français, célibataire, séjourne au Portugal. Un soir, il se rend dans un bordel et demande à la taulière : - Je voudrais une fille blonde, aux yeux bleus, et qu' elle soit bien épilée. - Oui, monchieur, une fille blonde aux chyeux bleus et bien épilée, vous challez chambre dix-chuit. Le gars entre dans la chambre 18 et voit une fille toute nue sur le lit. Mais elle est brune, elle a des yeux foncés et une épaisse toison entre les jambes. Alors, il retourne à l'accueil et dit : - Ca ne va pas. Chambre 18, la fille est tout le contraire de ce que je voulais. - Ma non, monchieur. Che viens avec vous. Ils entrent tous les deux chambre 18 et le client dit : - Regardez, elle est brune. - Maria, enlève ta perruque ! La fille s'exécute, et elle a de beaux cheveux blonds. - Oui, mais elle n'a pas les yeux bleus. - Maria, enlève tes lentilles de contact ! La fille fait ce qu'on lui dit, et elle a de beaux yeux bleus. - Oui, mais elle n'est pas épilée. - Maria, bouche un peu, pour chacher les mouches !
#Un touriste français#célibataire#séjourne au Portugal. Un soir#il se rend dans un bordel et demande à la taulière :#- Je voudrais une fille blonde#aux yeux bleus#et qu' elle soit bien épilée.#- Oui#monchieur#une fille blonde aux chyeux bleus et bien épilée#vous challez chambre dix-chuit.#il retourne à l'accueil et dit :#- Ca ne va pas. Chambre 18#la fille est tout le contraire de ce que je voulais.#- Ma non#monchieur. Che viens avec vous.#Ils entrent tous les deux chambre 18 et le client dit :#- Regardez#elle est brune.#- Maria#enlève ta perruque !#La fille s'exécute#et elle a de beaux cheveux blonds.#mais elle n'a pas les yeux bleus.#enlève tes lentilles de contact !#La fille fait ce qu'on lui dit#et elle a de beaux yeux bleus.#mais elle n'est pas épilée.#bouche un peu#pour chacher les mouches !
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
#mixte 1963#voltaire high#alain laubrac#joseph descamps#jean-pierre magnan#fanfiction#oneshot#fluff#angst#school au#voltaire high fanfiction#x reader
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After several months of absence following an accident I was going to go back to high school. I phoned my best friend. We had worked together on a presentation before my accident. Since then we hadn’t seen each other. She picked up the phone. My throat was tight. We had finished our evening work in a very ... pleasant way with great pleasure.
She answered me by saying, is it you? Yes I’ll be back tomorrow.
She said, It’s really wonderful
I could show you the result of our work!
I have so much breast pain right now, but I don’t blame you. It’s so wonderful if you knew!
We hung up. I didn’t quite understand the relationship with her breasts and our presentation—
The next day I arrived at the entrance of the school. She was waiting for me. I stopped sharp, eyes wide open! She was .... Pregnant! So pregnant! And her breasts so huge and tight! I got her pregnant the first night! But she was so happy and grateful. Her belly was so round and big.
She approached me and whispered in my ear: I missed you so much, darling. Let’s go home and make up for lost time in my room...
She lowered her head looking at my pants. She smiled and told me I think you are willing to come inside me...
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Après plusieurs mois d'absence suite un accident j'allais retourner au lycée. J'ai téléphoner à ma meilleure amie. Nous avions travaillé ensemble sur un exposé avant mon accident. Depuis nous ne nous étions pas vue. Elle a décroché le téléphone. Ma gorge était serrée. Nous avions terminé notre soirée de travail d'une façon très ... agréable avec beaucoup de plaisir.
Elle m'a répondu en me disant, c'est toi ? Oui je reviens demain.
Elle m'a dit, C'est vraiment merveilleux
Je pourrais te montrer le résultat de notre travail !
J'ai tellement mal aux seins en ce moment, mais je ne t'en veux pas. C'est tellement merveilleux si tu savais !
Nous avons raccroché. Je ne comprenais pas trop le rapport avec ses seins et notre exposé...
Le lendemain je suis arrivé à l'entrée du lycée. Elle m'attendait. Je me suis arrêté net, les yeux grand ouvert ! Elle était .... Enceinte ! Tellement enceinte ! Et ses seins tellement énorme et serré ! Je l'avais mise enceinte le premier soir ! Mais elle était tellement heureuse et reconnaissante. Son ventre était si rond et gros.
Elle ses approché de moi et m'a murmuré à l'oreille : tu m'as tellement manqué mon chéri. Rentrons chez moi rattraper le temps perdu dans ma chambre...
Elle baissa la tête en regardant mon pantalon. Elle sourit et me dit je crois que tu est disposé à venir en moi...
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Vous nous laissez de merveilleuses chansons dont nous nous souviendrons.
Beaucoup de mes amis sont venus des nuages
Avec le soleil et la pluie comme bagages
Ils ont créé le temps des amitiés sincères
La plus belle saison des quatre sur terre
Ils ont la douceur des plus beaux paysages
Et la fidélité des oiseaux de passage
Une tendresse infinie est gravée dans leurs coeurs
Mais parfois la tristesse monte dans ses yeux
Alors ils viennent
Réchauffez-vous à la maison
Et toi aussi
ils viendront
Tu peux retourner au fond des nuages
Et sourie encore sur beaucoup d'autres visages
Donnez un peu de votre tendresse à votre entourage
Quand quelqu'un d'autre veut te cacher sa tristesse
Parce qu'on ne sait pas ce que la vie nous donne
Il se pourrait que je ne sois plus humain
Si j'ai encore un ami qui me comprend vraiment
J'oublierai mes larmes et mes soucis
Peut-être alors
je viendrai chez toi
Réchauffe mon cœur
À ton bois
~Françoise Hardy~
🖤🖤🖤
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Candaulisme
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
‑ « Chéri...Chéri... ! «
‑ « Oui mon Amour... ? »
‑ « Chéri, tu es où ? Viens, je suis dans le garage...Il faut changer l’ampoule du clignotant de ma voiture... »
‑ « Comment ça...Comment ça, il ne marche plus ? Tu t’en es aperçue comment... ? »
‑ « Oui, c’est à l’arrière droit...Je ne pouvais pas le voir...Mais je me suis faite arrêter par la gendarmerie, les motards...Si je ne change pas l’ampoule et que je ne me présente pas dans les 48 heures pour faire voir que je l’ai faite changer je devrais payer 150 francs d’amende »
‑ « Ah oui...Ok je dois en avoir dans ma voiture ou dans une boite de secours de la tienne...Tu as regardé ? »
‑ « Chéri...Tu ne me connais pas encore...Moi, changer une ampoule... ? » s’esclaffa-telle... !
Oui, il fallait le reconnaitre, le bricolage n’était pas tout à fait la qualité première pour laquelle je l’avais épousée non plus, alors...
‑ « Mais je veux bien t’aider si tu veux...ou si tu as besoin, mon amour... » me fit-elle en déposant un baiser bien sonore sur mon front tandis que je m’agenouillais près de sa voiture pour regarder comment se démontait le clignotant de sa Mini...
Elle portait ce jour une robe courte dont elle avait un goût si sûr à les choisir et en conséquence affoler les hommes qu’elle pouvait croiser.
Une fente sur le côté à faire douter de Dieu tous les évêques et missionnaires d’un séminaire apostolique ajoutait une touche « so sexy... ! »...
‑ « Quoique...me dit-elle, il faut aussi que je me refasse une beauté...Je vais retourner à la gendarmerie dès que tu auras effectué la réparation...Merci mon amour... » me fit-elle en me tournant le dos précipitamment...
‑ « Eh...Eh... »
Je la connaissais par cœur ma petite femme d’amour...
‑ « Pourquoi te refaire une beauté...Tu es magnifique mon Amour... ! »
‑ « Oui... ? Merci...mon amour...C’est vrai...mais je ne t’ai pas tout raconté... Voilà, en fait, je me suis faite arrêter par des motards qui étaient derrière moi...Jusqu’à là rien de particulier...Ils m’ont fait me garer sur une aire de bus et l’un d’eux est venu vers moi...Sûre de moi, je n’avais rien à me reprocher, je souriais en ouvrant la vitre... »
‑ « Alors, ma petite dame...On ne met pas son clignotant pour tourner... ? »
‑ « Euh... Si, si...Je l’ai mis... Monsieur l’agent...Je vous jure, je l’ai mis !»
‑ « Ok, on va voir...Gendarmerie Nationale, veuillez arrêter le moteur du véhicule, retirez votre ceinture de sécurité et montrez-moi vos papiers...carte grise, carte d’assurance, papiers d’identité... Vous mettrez le clignotant et vous descendrez vérifier avec moi... »
‑ « Au ton, je savais que je n’étais pas tombée sur Louis de Funés, pas du tout le genre comique, aussi je m’exécutais...Mais la voix...Waoooua, tu me connais chéri comment j’y suis sensible...Une voix... ! »
Oui, je savais l’émotions et même les émotions (je vous raconterais plus tard un jour à l’Opéra où elle en avait trempé sa culotte et plus encore son siège...) que pouvaient lui procurer une voix...
Une voix de ténor...Une voix profonde...
Cela l’a transporté toujours et résonnait, vibrait si incroyablement en elle comme pouvait le faire le plus performant des sextoys...
Je crois également, car je possédais aussi cet organe, que c’est avant tout et au quotidien ce qui l’attirait ou l’avait attiré chez moi en premier...
Je me demandais pourquoi, car d’un physique normal et banal, j’avais l’incroyable chance de vivre aux côtés d’une si belle femme, et même que cela dure, mais je crois que ma voix était une grande partie de la réponse.
Je n’y étais pour rien mais en savourais et bénissais parfaitement la chance.
Elle s’était rapprochée de moi telle une chatte affectueuse et rêveuse...
En chaleur diraient d’autres...
Là, maintenant près de moi, son visage juste au-dessus de moi qui commençais les opérations de démontage du feu clignotant de sa Mini, elle revivait clairement l’instant et je ne vis que les yeux qui s’étaient fermés en tournant littéralement sur eux-mêmes et ce petit rictus ou pincement de la lèvre supérieure toujours prémisses d’instants d’abandon ou de proche abandon...
‑ « Chérie...Chérie... ! »
‑ « Ah oui, je te disais... » me fit-elle en se rapprochant de moi pour me déposer un baiser souriant, taquin et coquin comme elle savait que je les aimais.
Je dois avouer que j’en profitais également pour plonger de mes yeux comme toujours conquis dans son sublime décolleté et moi aussi m’extraire un instant de la tâche imprévue consistant à changer l’ampoule de son clignotant...
‑ « Oh...toi... ! » lui dis-je tout en posant ma joue sur sa poitrine généreuse et chaude où dardaient déjà les magnifiques pointes perçant le tissu léger de sa si belle robe...
Elle passa sa main dans mes cheveux...
‑ « Chéri, ce ne serait pas raisonnable...Pas maintenant. Allez, je te laisse je vais me préparer...Appelles-moi quand c’est prêt...Il faut que je retourne à la gendarmerie au plus tôt montrer et prouver que j’ai changé l’ampoule...Sinon, 150 francs...Tu ne voudrais pas dépenser 150 francs inutilement quand même ...Même pour ta femme adorée...Non ? »
Les femmes ont ce don de vous ramener à la réalité...
Aussi, je poursuivais mon travail.
Mais en fait, elle ne s’éloignait pas...
‑« Aussi, dit-elle en restent près de moi et poursuivant son récit, je me suis penchée vers la boite à gant et comme de plus, il était grand et surplombait largement la portière, je suppose que lorsque je me suis penchée, il a dû voir mon cul, ah oui aujourd’hui chéri, je n’avais pas envie de mettre de dessous, et comme je me suis vraiment penchée pour aller chercher les papiers qui étaient tout au fond, je pense qu’il a vraiment dû bien se régaler à mâter mon cul...
Bien entendu, je râlais un peu car je n’arrivais pas à les attraper ces foutus papiers... Et je mis un certain temps...
‑ « Rien de grave, ma petite dame...Prenez tout votre temps me fit -il de sa si belle voix grave et chaude...Tu sais, combien je les aime, ces voix et ce qu’elles me font... »
Oui, je le savais et me doutais même un peu de la suite de son histoire...
Vingt ans de vie commune dont 19 ans de libertinage, de candaulisme, de pratique de « couple libre » et maintenant plutôt un style de vie «stag-vixen... » sans aucun remord ni regret et même et surtout d’immenses satisfactions et plaisirs...
Oui, je m’attendais un peu à la suite de l’histoire...
‑ « ...Ne vous inquiétez pas...Tout va s’arranger... Je suis sûr que vous n’avez pas tout oublié... !»
‑ « Comment ça tout oublié... ? » lui répondis ma femme en se retournant promptement
- « De mon point de vue et sans vous connaître plus que ça, il vous arrive sûrement parfois d’oublier des choses... Je dis ça, je ne dis rien... » lui fit-il dans avec un sourire ravageur et toujours cette voix si suave...
_ « Je dois t’avouer mon chéri que cela m’a mis dans un état, c’est d’ailleurs pour cela que je dois aller me refaire une beauté, enfin, me rafraîchir si tu vois ce que je veux dire...mais aussi que cela m’a tellement décontracté...Je lui passais alors les papiers enfin trouvés en toute décontraction, en attardant longuement mon regard sur ses menottes collées à sa taille, hummm les menottes, il y a longtemps qu’on a pas joué avec des menottes mon chéri, sa matraque, ses bottes en cuir et son cul si bombé, bien formé et mis en valeur par son pantalon de motard assez serré...Oui, je ne pensais plus beaucoup au clignotant, tu me connais mon amour et c’est aussi pour ça que tu m’aimes, non ?... »
Oh oui je la connaissais ...Oh oui je l’aimais !
C’est d’ailleurs comme ça et pour ça que je l’aimais...Joueuse, dynamique, ingénue tout en sachant ce qu’elle voulait et où elle allait, belle, rebelle, optimiste, gaie, retombant toujours parfaitement sur ses pieds, rêveuse et attentionnée, curieuse, libertine, libre et libérée avec un appétit de la vie et surtout quoiqu’il arrive vouloir vivre, aimer, célébrer la vie, les gens et l’amour ...
Alors qu’elle me tournait le dos, j’eus juste le temps de lui claquer une main sur les fesses, non pas, elle aurait détesté, en macho de base mais en homme épris de sa femme et lui signifiant par ce geste, non sa possession ou sa domination, non, mais bien une promesse, un intérêt fougueux et clairement sexuel de l’instant complice, une envie, un désir de l’honorer, là, maintenant, sur le champ, et aussi manifestant une certaine frustration de ne pouvoir réellement le faire car la connaissant parfaitement, elle, ses désirs, ses envies, ses besoins, ses habitudes...
Plus tard, ce serait plus tard...
Elle en avait clairement envie...mais faisait, toujours aussi joueuse, lucide, gourmande et gourgandine, taquine, durer l’instant pour plus tard en extraire les pleines saveurs et abondances...
‑ « Plus tard mon chéri...je te connais, rires, tu me connais...Plus tard, tu auras ta part plus tard...La plus belle part.…Je reviens... »
Je la laissais partir certes à regret mais aussi sûr d’elle et de sa promesse...
La confiance et l’amour ayant toujours tout emporté chez moi, je la regardais partir, fou amoureux comme au premier jour et me remis au travail.
« Chérie... ? C’est bon, c’est réparé, c’est prêt ! «
Sa voix derrière moi me surpris...Elle s’était effectivement dépêchée. Elle ne s’était en apparence pas changée juste sûrement rafraîchie mais objectivement pour moi toujours aussi belle et sexy...
Peut- être même plus belle encore, nimbée d’un je ne sais quoi et d’une aura sexuelle si perceptible qui émanait d’elle en cette instant me doutant de ce qu’elle allait réellement m’annoncer ....
Belle, sexy, conquérante...Irrésistible... Je l’aimais tant ainsi...
‑ « A tout à l’heure Chéri...Je t’aime. Merci...Je t’appelle pour te tenir au courant...Il se peut que je rentre tard...me nargua-t-elle de manière si complice et de son sourire adamantin...Je t’aime tellement pour tout ce que tu m’offres et me permets...Je te raconterai... ».
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
Elle était une Hot-Wife, ma Hot-Wife...J’étais un cerf...Son cerf...Nous nous aimions ainsi.
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Automne 1926 - Champs-les-Sims
3/3
J'espère pouvoir t'annoncer une bonne nouvelle sous peu, et qui sais, peut-être que cela te fera plaisir car tu ne pense pas (comme Antoine), que j'ai en quelques sortes gâché ma vie. J'ai été surprise, car de tous mes proches, c'est sans doute lui qui l'a pris le plus mal. Papa a estimé que j'étais un peu jeune pour déjà me marier, mais il n'a pas insisté quand je lui ai dit que c'était mon souhait.
J'ai heureusement pu rencontrer mes petites soeurs ! Elles sont adorables, surtout Julienne, et elles se ressemblent autant que Cléo et moi. C'est vraiment étrange de les voir et de constater que mes propres enfants auront sensiblement le même âge.
Je voulais conclure en revenant sur ce que tu mentionnais à propos de vos problèmes financiers. Par expérience, je sais que ce n'est pas facile à admettre comme genre de problème. Je suis flattée que tu te confies à moi et je veux que tu saches qu'en cas de besoin, je peux y pourvoir. Je ne pense pas me vanter ou être impudente en affirmant que les affaires familiales vont assez bien pour entretenir le nouveau foyer de mes parents à Alexandrie, les chambres d'Antoine et Cléo à Paris, le pensionnat de Jean-François ou encore les besoins de Sélène (en tous cas jusqu'à son mariage). Sache que tu n'as qu'à demander.
Je te souhaites le meilleur,
Ta cousine, la nouvellement nommée Arsinoé Le Bris de Chastel
P.S. Vois-tu, je porte une particule désormais ! Je pense que si notre ancêtre commun en était témoin, il ne le croirait pas.
Transcription :
Arsinoé « Antoine. Je comprends tes inquiétudes. Mais tu n’étais pas là. Il fallait que je réagisse rapidement. »
Marc-Antoine « Pourquoi tu ne m’a pas appelé ? Nous aurions trouvé une solution tous les deux… Tu sais que je suis là, que tu peux me demander ce que tu veux et que j’aurais fait n’importe quoi... »
Arsinoé « Tu n’aurais rien pu faire. Il faut que tu acceptes que cette fois-ci, tu ne pouvais rien pour moi. Tu ne m’as ni trahie, ni laissée tomber. Sans compter que la situation aurais pu être pire. Cette solution est idéale, même si elle ne te convient pas. »
Marc-Antoine « C’est juste que voir Grand-Mère jubiler à ce point, ça m’a mis tellement en colère. »
Arsinoé « Mais pourquoi ? »
Marc-Antoine « Je… ça ne semblait pas bien. C’est ta vie, pas la sienne. »
Arsinoé « Antoine… Accepte qu’il n’y avait pas d’autre solution. Tu sais, nous avons discuté avec Ange. Longuement. De toute ce qui allait se passer, de ce que nous voulions tous les deux. Nous sommes satisfaits. »
Marc-Antoine « Alors… C’est vraiment ce que tu veux ? »
Arsinoé « Oui, vraiment. Mais de toute façon, ce serait un peu tard pour renoncer. J’aurais pu te le dire si tu m’avais parlé avant plutôt que de bouder comme un enfant jusqu’à la cérémonie. »
Marc-Antoine « Pardon... »
Marc-Antoine « Et maintenant ? »
Arsinoé « Maintenant ? Je vais retourner à mon travail jusqu’à ce que je sois trop fatiguée, puis je prendrai de longues semaines de repos dans le jardin d’hiver jusqu’à la naissance. Et après, je commencerai ma vie de mère. Et toi alors ? »
Marc-Antoine « Et bien… Je vais retourner à Paris terminer l’école. Puis je reviendrai ici le plus tôt possible. Pour Aurore bien sur, mais aussi parce que Kleber et Raoul veulent créer une liste communiste pour la mairie et que je pense saisir ma chance. Avec mes connaissances à Paris, je vais gagner une vraie légitimité. »
Arsinoé « Avec un tel programme, tu seras député avant trente ans. »
Marc-Antoine « N’exagère rien ! Mais je pense qu’il faut faire une différence, se battre pour ses convictions. Et t’épauler bien sur. Il ne sera jamais dit que je laisse tomber ma grand-sœur, jamais ! C’est ce que Grand-Père Maximilien a toujours fait, veiller sur sa famille, et je vais prendre le relai. »
Arsinoé « Alors c’est formidable ! Tous les enfants Le Bris vont suivre leur rêve. Oh, ne me regardes pas comme ça, je m’incluais dans le lot ! »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Aurore Laroche#Constantin Le Bris#Julienne Le Bris#Jeanne Marie Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Sélène Le Bris#Jean-François Le Bris#Ange de Chastel#Maximilien Le Bris#Raoul Musclet#Kleber Musclet
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Vous pensiez que c'était fini, vous pensiez que vous n'auriez plus jamais aucune update et pourtant en voilà des toutes fraîches de ce matin : c'est pas que j'entends quelqu'un m'appeler dans les couloirs, je me retourne et voici le prof d'anglais qui vient me saluer on discute et il me dit "oui j'ai pensé à toi, j'ai une veste que je ne mets plus, si ça t'intéresse je te la donne à la rentrée" ???? genre le mec c'est mon sugar daddy ou quoi il me fait des cadeaux comme ça
#il a cru j'étais Emaus ou quoi#je ne dis pas non#par contre il a pas compris qu'on n'avait pas le même gabarit#je ressemble à une patate sous Xanax#et lui à une armoire à glace#prof d'anglais#quentin le surveillant
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Juste moi qui pensait avant de dormir…
-version française-
Wukong n'était pas sûr s'il avait envie de pleurer ou de crier. Son corps tout entier ressemblait à un cœur qui battait trop fort contre sa poitrine.
Il regarda le sol avec rage. Puis, ses mains, ces mains impuissantes qui avaient été dans l'incapacite d'arrêter Macaque.
"C'était stupide, stupide, stupide, stupide, stupide!"
Wukong attrapa chaque côté de sa tête et tira sur ses cheveux. Son corps s'affaissa alors qu'il criait , le front collé à son ombre. C'etait le dernier vestige du portail par lequel son ami venait de le recracher pour échapper à un châtiment qu'il n'aurait jamais vu venir.
Il revoyait encore Macaque le tirer dans le portail au moment où la montagne lui tombait dessus. Il le vit lui sourire si gentiment. Pourtant Wukong pouvait entendre un "Je te l'avais dit" moqueur dans l'arrière de sa tête. Il eu juste le temps d'apercevoir Macaque user de sa magie pour porter un glamour qui changerait le singe de l'ombre, en la personne qu'il avait tenté de protéger.
Wukong ne pouvait oublier comment le noir passait au orange, les six oreilles disparaissaient pour en devenir deux, et les pupilles ressembler aux siennes.
Wukong se maudit.
Qu'est-ce qui l'a poussé à s'opposer à Bouddah ?
Il leva les yeux vers l'endroit ou devrait se trouver la montagne où Macaque devrais certainement être bloqué. Devrait il aller le voir? Macaque lui en voudrait t-il ? Voulait il même le voir ? Le coeur de Wukong se serra. Il ne pouvait pas y retourner. Il n'en avait pas le droit...il...n'était pas prêt pour ça. Il ne supporterait pas la colère de Macaque. Pas après qu'il lui est promis une vie de bonheur.
"Et si il mourrait sous cette montagne? "
Les ongles de Wukong gratèrent la terre de la montagne de fleur et de fruit, et un petit rire bref lui echappa. Non...Macaque avait une longévité demoniaque. Il ne mourra pas...n'est ce pas ?
Wukong reflechit un moment avant de se mordre l'interieur des lèvres. Il allait quand même s'assurer de nourrir Macaque tout les jours...si le singe de l'ombre ne lui en veux pas trop.
#digital art#sketch#just doodlin#lmk macaque#lmk shadowpeach#lmk sun wukong#just writing stuff#just night doodle
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Tes 5 women's wrongs préférées 💙
Vraiment ce classement a été difficile à organiser donc j'ai abandonné et je vais citer ces cinq dames sans faire de hiérarchie parce qu'elles le méritent
Valeria Garza (Call of Duty)
Fait-on plus women's wrongs que cette femme ? Ses crimes sont innombrables et son kuntenserven irréprochable. La sécurité de l'état mexicain devrait apprécier d'être troublé par elle. Son bisexual bob, son talent de manipulation et sa compréhension aigüe de comment tourner le patriarcat à sa sauce pour mieux dominer les autres en fait une total girlboss et le contraire d'une girl's girl. Cette femme est peut-être attirée par les femmes mais elle n'est pas une alliée. J'adore chaque fibre de son magnifique corps problématique.
De plus, elle a ce petit twist à la Irene Adler où elle bat les héros et s'en tire sans trop de dégâts, prête à repartir pour un tour. Si le monde était parfait elle serait dans tous les call of duty (malheureusement elle n'y est point. Elle a des skins très sexy dans Warzone, cependant, ce que j'accepte comme un compromis pragmatique)
Alicent Hightower (House of the Dragon)
On n'échappe pas au cycle du trauma avec cette délicieuse femme, on le perpétue! à l'infini! Son hypocrisie et son incapacité à comprendre ses propres émotions en font une horrible personne que jamais je n'aimerais côtoyer, mais ses longs cheveux bruns et ses grands yeux pleins de larmes me conduisent à justifier tous ses méfaits. So what si elle a commencé une guerre à cause de paranoia et de slut-shaming probablement induit par le fait qu'elle a fumble l'héritière du trône alors qu'elle avait totalement moyen de l'embrasser passionnément dans leur jeunesse ? God forbid women have hobbies
Aelis (Kaamelott)
Comment ne pas mentionner mon OG women's wrongs, Aelis. Elle tente littéralement de la coercion sexuelle à sa première apparition. Une femme à la morale absolument dans les égouts mais chacune de ses trop rares apparitions me remplit de joie. Astier si tu n'es pas un lâche confirme dans kv3 partie 6 qu'elle a fui la cour pour vivre dans un cottage avec Démétra où elles se menacent de divorce toutes les semaines et se roulent des patins le reste du temps.
Hélène de Sparte (mythologie grecque)
Littéralement mon personnage préféré de toute la mythologie grecque. Elle est tellement fascinante pour moi et à ce jour je n'ai pas encore trouvé de version d'elle en dehors du texte original du cycle troyen qui corresponde à la vision que j'ai d'elle. Elle est tellement ambivalente : à la fois maudite et bénie par sa beauté, avec tellement de relations compliquées avec tout le monde. Ses intentions et son agentivité sont des points d'interrogation permanents. Une ville est tombée pour elle. On a sacrifié des enfants en partant et en retournant de la guerre menée en son nom. Elle-même se traite de chienne quand on lui pose la question. Euripides en a fait sa blorbette et l'a absolue de toute responsabilité dans cette affaire, ce qui est objectivement hilarant.
Pyrrha Dve (The Locked Tomb)
Je suis obsédée par elle depuis que je sais qu'elle a utilisé la possession du corps de son meilleur ami pour avoir une relation avec une terroriste, tout en sachant que ledit meilleur ami était déjà dans une relation avec ladite terroriste. Mais il ne faut pas oublier son implication dans la création d'une société autoritaire et ultramilitarisée aux accents fachistes. Ainsi que le fait qu'elle a au minimum accepté de laisser passer un plan qui impliquait de fracasser un bébé contre un rocher. Quand on voit tout ça, sa relation problématique avec des jeunes gens de 10 000 ans ses cadets passe comme une lettre à la poste. Also, she's a butch
Mention honorable :
Mel Medarda (Arcane)
Elle n'est pas dans la liste des women's wrongs parce que objectivement elle est une personne éthiquement respectable, contrairement à toutes les charmantes femmes citées plus haut. Mais ce que j'aime beaucoup chez elle, justement, c'est qu'elle occupe un rôle qui serait traditionnellement attribué à une women's wrongs (la politicienne, la femme fatale, la mentor du côté obscur) et elle arrive à cependant garder sa morale et ses principes et être un personnage positif. Elle est également sans aucun doute la plus belle femme que j'ai jamais vu de ma vie. Si elle ne revient pas dans la prochaine saison je brûle Netflix.
(sa daronne est totalement une women's wrongs par contre hehehe)
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SolarTale Arc 1 - Chapitre 5 : Entraînement avec Papyrus
Chara se réveille très tôt pour une fois, voulant en savoir plus sur sa magie avec impatience, celle qui lui a permis de se défendre face aux créatures de la veille. Elle sort de la maison de Papyrus pour traverser le village de Snowdin encore endormi pour se diriger vers la forêt enneigée.
Après un petit moment à marcher sur la neige, elle arrive au cœur de la forêt, dans un endroit tranquille et elle commence son entraînement. Au début, aucune magie ne faisait son apparition mais au fil du temps, elle se faisait remarquer de plus en plus tandis que le soleil se levait, il n'y a pour l'instant qu'une infime lueur.
Soudain, un tremblement dans la forêt se fait entendre et Chara stoppe son entraînement immédiatement pour se mettre en garde, le même tremblement qu'hier. Des créatures apparaissent en une flaque puis se forme en slime noirâtre s'approchant de Chara.
Elle se défend en faisant apparaître des couteaux qui s'abattent sur les créatures pour les détruire mais il y en a trop. Les créatures l'encercle, la privant d'un moyen d'échappatoire. C’est alors qu’une idée traverse l’esprit de Chara qui n’avait presque plus de solution.
Chara : Et si je concentre ma magie pour la faire sortir d'un seul coup autour de moi ?
Effectivement, Chara eu une idée et l'applique, elle concentre sa magie puis la fait ressortir d'un coup laissant un souffle d'explosion rougeâtre qui détruit les créatures se trouvant autour d'elle. Elle s'échappe ensuite par le chemin auquel elle était arrivée pour retourner au village et semer les créatures qui la suivaient mais qui ne sont pas assez rapides pour ne serait-ce la suivre.
Chara court dans la forêt pour ensuite enfin arriver au village et rentre dans la maison de Papyrus pour remarquer qu'il était éveillé et debout mais toujours un peu endormi.
Papyrus : Chara ? Tu es partie quelque part ?
Chara : Ho Heu Paps.. Et bien je suis allée faire un petit tour hehe..
Papyrus ne doute pas de la parole de Chara et la croit même si ses paroles étaient un peu suspicieuses.
Papyrus : On ira s'entraîner comme tu le voulait dans la forêt pas loin du village
Chara : Dakodak, je te suis !
Les deux partirent à la forêt enneigée, là où Chara s’était déjà battue juste avant. Arrivées là-bas, les créatures n’y étaient plus ce qui soulage Chara. Papyrus s‘éloigne un peu d’elle et invoque un os qu’il prend dans sa main.
Papyrus : Tu es prête ?
Chara se met alors en garde elle aussi en faisant apparaître un couteau dans sa main.
Chara : Oui !
Chara fait apparaître d’autres couteaux rougeâtres en l’air qui foncent sur Papyrus mais celui-ci les détruit tous avec l’os qu’il a dans sa main, Chara bondit sur lui pour lui porter des coups avec le couteau qui est dans sa main. Papyrus les pare tous avec son os et donne un violent coup dans le couteau de Chara pour la désarmer et lui faire perdre l’équilibre tandis qu’il fait apparaître de nombreux os qui sortent du sol.
Chara saute haut dans les airs pour les esquiver et envoie depuis la paume de sa main, un rayon d’énergie rouge. Papyrus fait sortir du sol de nombreux os pour intercepter le rayon et l’arrêter, les os se détruisent ensuite et Papyrus fait sortir un grand os du sol devant Chara qui la percute brusquement et la propulse contre un arbre.
Papyrus arrête donc le combat, voyant Chara blessée et lui tend sa main pour l’aider à se relever.
Papyrus : Tu es déjà forte ! Continue tes efforts et tu intégrera vite la garde royale !
Chara prend la main de Papyrus et se relève, ses blessures guérissent petit à petit grâce à sa magie.
Chara : Super, je travaillerais dur pour pouvoir atteindre ton niveau !
#solartale#univers alternatif#undertale au#solar!chara#solartale story#solartale arc 1#undertale multiverse#solar!papyrus
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Les nouvelles expériences d’une vie sans fin (10.2/15)
Hum… Professeur ?
Oh, Dérelian ! Tiens, tant que tu es près de l’armoire à pharmacie, pourrais-tu m’apporter les deux bocaux de- ?
D’Arnica et d’Aloe Vera ? Tss… Vous… Vous êtes encore blessé durant votre séance de recherche avec ces… Méchasmes.
Ce n’est pas leur nom… Et tu le sais très bien.
Pourtant ils sont bien faits de métal et propage leurs miasmes de mort sur-
Ça suffit ! Je ne veux plus entendre ce mot, en particulier dans ta bouche. Notre peuple s’apprête à rentrer dans une nouvelle ère grâce à cette rencontre tombée du ciel – pour une fois, j’en remercierai presque la Déesse, haha ! Les Enfants d’Erasme n’ont fait que se montrer compréhensifs et ouverts à l’échange depuis leur arrivée : jamais nous n’avions autant progressé en si peu de temps.
Ce n’est pas le cas de tous…
Ah… Je vois. Tu veux parler des « récolteurs », hum ?
Cet « Orgonax »… Il a failli réduire notre dernière récolte à néant avec son rayon. Et les Collines du Printemps n’ont plus de vert que leur nom depuis qu’ils ont commencé à… aspirer le Wakfu. C’est comme si… Tout était mort et plus rien ne pourrait jamais pousser là-bas. Plus rien ne pourrait y vivre.
Dérelian ?
… ?
Sache que… Je compatis à ta douleur. Moi aussi, cet Orgonax et ses, hum, frères, ne m’inspirent pas confiance. Mais, ils ne sont pas tous comme lui. De plus, tant que Zinit les tient à l’œil, nous ne risquons absolument rien.
Hum…
Et puis, tu connais ton vieux professeur, hein ? Il a beau avoir plusieurs millénaires au compteur, il sait encore se défendre ! Ou alors est-ce que tu douterais de lui ?
Haha !
.
.
Mais… Promettez-moi de faire attention à vous quand même.
Je te le pro-
Non ! Jurez-le-moi. Faites-le sincèrement.
Ahh… Dérelian. Je te l’ai dit, je ne risque rien : Aroh n’est pas…
Comme les autres ?
… Aroh est… différent.
Tss.
Bon… Dérelian ?
…
Regarde-moi s’il-te-plaît ?
Hum ?
Je te promets que je ferai attention.
Et… que vous reviendrez en un seul morceau cette fois-ci ?
Promis, juré, si je mens je me coupe la barbe ! Allez, maintenant efface-moi donc cette moue renfrognée, car un mauvais flux de Wakfu, et tu resteras coincée avec elle toute ta vie !
Héhé, bon, c’est d’accord.
.
Faites attention, professeur…
.
.
Revenez à la maison sain et sauf.
C’est ça ! Tu te débrouilles de mieux en mieux, Qilby.
Merci, Aroh. Et je dois dire que toi aussi, tu parviens de mieux en mieux à former tes phrases. Elles ont perdu ce petit côté…
Coincé ? Comme pour indiquer quelque chose d’exagérément compliqué ?
Oui, oui on peut dire ça, haha !
.
.
Dis…
Oui ?
Est-ce que tu n’as jamais eu envie de… de partir ?
Que-Quoi ? Jamais je ne pourrais abandonner ma famille ! Jamais, je- !
Non, non ! Je ne pensais pas à ça ! Simplement �� … Voyager ?
C-c’est-à-dire ?
Eh bien… À chaque fois que j’évoque nos escales à travers le
, le… Krosmoz ? C’est cela ?
Hum, hum…
Eh bien, à chaque fois que j’évoque nos voyages, tu sembles si… rêveur, Qilby. Comme si… Comme si tu aimerais toi aussi en faire partie.
…
S-si jamais je me suis trompé, je te pris de bien vouloir me pardonner ! J-je voulais j-juste savoir si- !
Non. Non, tu… Tu as raison.
Je crois que… Je crois qu’ici, sur cette planète, j’entends… À rester comme ça, indéfiniment, je… je ne trouverai pas ma place. Je crois que- Non, je sais que…
Je sais que je ne peux pas rester.
Mais…
J’aime ma famille ! Je l’aime sincèrement ! Et je ne veux pas qu’ils…
L’un n’empêche pas l’autre, Qilby.
C-comment ça ?
Si jamais c’est ce dont tu as besoin, les tiens devraient pouvoir le comprendre, non ?
…
Et puis, rien ne t’empêcherait de revenir de temps à autres ? Nous autres, Enfants d’Erasme, n’avons pas l’habitude de retourner sur des planètes que nous avons déjà visitées car cela mettrait alors en péril leur processus de régénération. Mais jamais encore n’avions-nous rencontrer des créatures telles que les Éliatropes capables de maîtriser cette énergie ! Nous pourrions alors voyager un peu, avant de revenir voir ta famille, échanger à nouveau avec eux, avant de repartir ?
Oui, ça- Mais, et Shino- ?
Ta sœur serait la bienvenue parmi nous, Qilby : Zinit a plus de force qu’il n’en faut pour porter un dragon en plus de plusieurs tonnes de métal !
Tu- ?
Oui, je lui ai déjà demandé, et il est d’accord. Pareil pour les autres ; même si, tu t’en doutes, Orgonax n’a pas été facile à convaincre. Heureusement, cette grosse brute ne peut rien me refuser !
…
Il faut dire que… cette idée me taraude depuis un petit moment et… je cherchais juste le bon moment pour, enfin… Te demander si… Qilby ?
…
Qilby ?!
…
Qilby, répond- !
Aroh ?
- oui ?
J’aimerai… beaucoup ça.
Voyager…
.
Avec vous tous.
Avec toi.
Shin’ ? Tu es là ?
Dans la cuisine, mon frère ! Tu tombes bien ! J’étais justement en train d’expérimenter une nouvelle forme de crème pour mes « Bouchées à la Dragonne » et je me demandais si tu voudrais bien… ?
Oh, mais bien sûr, c’est toujours un plaisir que de goûter à tes créations, tu le sais ! J’aurai également besoin de te parler un moment si tu es disponible après cela ?
Quelle question ! Pour toi, j’ai tout le temps du monde, Qilby.
Héhé, merci soeurette. C-c’est à propos d’Aroh, je…
…
Shinonomé ?
La crème peut attendre. Assis-toi, Qilby. Je t’écoute.
.
.
Et c’est ainsi que… Qu’Aroh m’a proposé de les accompagner pour voyager à travers le Krosmoz.
Hum…
M-mais il m’a assuré qu’ils r-reviendraient sur notre planète régulièrement ! Enfin, p-pas trop pour éviter de la v-vider de son Wakfu, hein ? Mais assez pour que… je puisse être là ? Bon, je raterai peut-être un a-anniversaire ou deux, mais j’ai déjà assisté à des milliers, donc… ? Je devrai au moins être là pour chaque réincarnation !
…
Et tu p-peux même venir, Shin’ ! Bien sûr que tu es libre de c-choisir : je sais à quel point tu aimes notre famille ! Tu l’aimes autant que moi, mais- ! C’est juste que… j’aimerai beaucoup que… Tous les deux on- ! Enfin… Comme on en a toujours rêvé, Shin’, imagine un peu… !
…
Shin’ ?
…
Je t’en prie, Shin’, d-dis quelque chose. Tu sais que j-j’ai horreur de ça quand tu-
Qilby ?
O-oui ?
Je vais être honnête avec toi, mon frère.
Comme je l’ai toujours été et le serai toujours…
Au début, j’avais peur que ces créatures ne soient… qu’un nouveau passe-temps pour toi. Que tu n’y voies qu’une nouvelle source de divertissement pour cette tête aussi débordante d’imagination mais aussi insatiable que la tienne.
Merci ?
Mais aujourd’hui, je vois qu’elles t’ont apporté plus que quiconque pourrait le faire… Plus que moi-même.
Shin’…
Non, écoute-moi, Qilby. Ils…
Ils ont rempli le vide de ton cœur, Qilby.
Ce Aroh… Je vois à quel point il te rend heureux.
Je ne t’avais pas vu sourire ainsi depuis des siècles, mon frère !
Je sais que notre… situation, à tous les deux, n’a pas été des plus faciles à vivre. Nous faisons figure d’exception parmi nos frères et sœurs. Et tu as été si… courageux Qilby. À chaque naissance, chaque incarnation, chaque… perte.
…
Mais je vois aujourd’hui à quel point cela t’a coûté.
Alors, si jamais tu penses que cela est la meilleure solution,
pour toi, pour notre famille…
Va, Qilby.
.
.
Shin’… ? M’accompagneras-tu ?
Voyons, mon frère, tu devrais le savoir depuis le temps.
Là où tes pas te guideront,
mes ailes me porteront.
Qu’est-ce qu’ils croient ? Hein ?! Qu’on va se laisser faire ? Qu’on va les laisser vagabonder sur nos terres et piller le Wakfu, notre Wakfu, comme s’il s’agissait de vulgaires grains de blés ?! Nous avons passé tant d’années et d’effort à construire ce monde ! À nous y faire une place ! Et eux, ils… ! Ils… !
C-chibi, calme-toi, tu-
Oh, je t’en prie, Mina ! Ne me fais pas croire que toi aussi tu es tombée sous leur charme ? Que toi aussi tu veux aller batifoler dans les montagnes avec eux comme s’ils s’agissaient de nos plus chers et tendres amis ?
Chibi, mon frère, parle donc moins fort, tu veux ?
Et alors ?! Tu croies que j’ai peur d’eux, Glip ? Au contraire, qu’ils s’amènent ! Si Mina et Phaéris n’étaient pas intervenus ce matin, j’en aurai déjà transformé un en pièces détachées ! Le mois dernier, ils ont vidé un lac de moitié, et celui d’avant, ils ont rasé une prairie entière !
Je comprends ta colère, Chibi, mais… Tu voies bien qu’ils ne font que se nourrir ? Que tenter de… survivre ? Et puis, il nous reste encore bien plus qu’il nous en faut pour-
Ah ! Le discours que j’attendais ! La disculpation par association ! « Mais nous aussi nous avons besoin de puiser dans le Wakfu pour vivre, Chibi ! », « Nous devons même tuer des animaux et des plantes, Chibi ! », « Tant que nous posons des limites et les faisons respecter, tout ira bien, Chibi ! »…
Et jusqu’à aujourd’hui, nous sommes toujours parvenus à les-
ILS ONT TUÉ YUGO !!
.
Chibi… Tu sais bien que ce n’est pas…
C’est du pareil au même.
Chi-
Ça suffit !
…
Je ne veux plus en parler.
.
De toutes manières, vous allez voir. Ce ne sera pas long avant qu’ils ne montrent leur vrais visages… Même lui ne pourra plus jouer à l’aveugle plus longtemps.
Chibi, ta voix.
Lâche-moi la grappe, Glip ! Tu ne peux pas nier que depuis leur arrivée, on ne l’a jamais vu autant hors de son fichu labo ! Et lui qui était si… inquiet de tout, voilà qu’il veut que nous fassions ami-ami avec des créatures qui pourraient nous écraser d’un simple doigt. Ils… ravagent nos terres, puisent dans notre Wakfu, et lui… Il ne fait rien, ne dit rien. Il s’amuse à dessiner des symboles à même la boue avec le plus petit de ces… « Méchasmes ».
Mais il est également intervenu pour vous sauver toi et Efrim, ainsi que pour sceller une alliance entre nos deux races. Qil-
Ça suffit !
.
.
Qilby a trahi la mémoire de Yugo en s’alliant avec ces monstres.
.
Qilby nous a trahis.
Vous… n’y voyez donc pas d’inconvénients ?
Ta cause -Aroh- Plaidé Avoir
Zinit -Reconnaissant- Tes efforts -Être-
Merci, je… Merci. Je sais bien que cela n’a pas dû être un choix aisé, pour vous comme pour votre peuple, mais… Votre bienveillance me touche, Zinit.
Enfant de l’étoile Bleue -Une question- Demeurer
Qu-Oui ? Qu’y-a-t-il ?
Toi -Enfants d’Érasme- Toujours -Défendre-
Mais -Ta famille-
Oh ! Shinonomé vous porte également dans son cœur et-
Dragon Rubis -Shinonomé- Problème -Pas Être
Et -Qilby- Savoir
…
Frères et Sœurs -Enfants de l’Étoile Bleue- Éliatropes
Peur et tristesse -Leurs âmes- Se noyer
Enfants d’Érasme -Méchasmes- Devenir
J-je suis désolé… ! Il faut les comprendre, ils- !
Leur Cœur -Perdu- Être
Zinit -Voir-
Zinit -Pardonner-
…
Mais -Enfants d’Érasme- Imparfaits -Être-
Enfants de l’Étoile Bleue -Ressembler-
Nous… Nous sommes tous différents…
Qilby -Intelligent- Être
Zinit -Pardonner- Pouvoir
Mais ce ne sera pas forcément le cas pour les autres…
.
Dernière question -Répondre-
J’avouerai qu’après notre discussion, je ne suis pas certain de pouvoir accéder à cette requête, mais… je ferai de mon mieux.
-Sage réponse-
Zinit -La colère- Contenir
Aroh -La paix- Avec Qilby -Chercher-
Mais… ?
Paix -Éphémère- Toujours -Être-
Enfants d’Érasme -Tensions- Sentir
…
Quand -Guerres- Éclater
Un camp -Choisir-
Je… Nous ne sommes pas obligés d’en arriver jusque-là, n’est-ce pas ? Ce n’est qu’une question de temps et de… confiance ? Aroh et moi étions justement en train de réfléchir à organiser un grand rassemblement dans les jours à venir ! Je suis certain que nos plus jeunes pourraient nous aider à convaincre leurs parents que-
Efforts -Parfois- Pas assez -Être
Mais…
-Qilby-
… ?
Pas toujours -Notre faute- Être
-Parfois-
Peur -Gagner-
.
-Parfois-
Un camp -Choisir- Devoir
Mina ?
Ah ! Qilby, c’est toi ? Par la Déesse, tu m’as fait peur !
Haha, pardonne-moi ! Tu paraissais tellement absorbée par ces roses que j’ai bien cru que tu pouvais les entendre.
Tu ne devrais pas autant négliger la parole des fleurs, mon frère, tu pourrais être surpris par toutes les choses qu’elles ont à raconter…
Je n’en doute pas un seul instant. En particulier, celles-ci. Peut-être, l’histoire d’un chevalier chevauchant un dragon au souffle puissant et d’une princesse à la robe d’azur, qu’en penses-tu ?
Humpf, j-je suppose.
Oh, ne te fâche donc pas Mina, je plaisante. Je voulais juste… détendre l’atmosphère, c’est tout.
Et pourquoi cet effort ?
.
J’ai besoin de tes conseils, Mina.
.
.
Voilà. Tu as toute l’histoire à présent.
Je vois… Et ?
Et ? Honnêtement, je… Je ne sais pas.
…
D-dois-je accepter ? Dois-je partir ?
…
Vous êtes ma f-famille, Mina, vous tous. Mais je crains que cette décision ne soit… mal interprétée par certains. Et si Shinonomé part avec moi, alors… Vous serez livrés à vous-mêmes. Que faire si jamais une catastrophe ou une é-épidémie survenait ? Pourrez-vous les surmonter sans nous ? Si l’un de vous risquait de… de mourir. Si je ne suis pas là alors que j’aurai pu… ! Dis-moi, Mina, est-ce qu’en faisant cela…
…
Est-ce qu’en choisissant de partir, je… je vous trahirais ?
.
.
Nous sommes différents. Toi et Shinonomé : vous n’êtes pas comme nous autres. Vous vous souvenez de tout ce qu’il s’est passé… avant. N’est-ce pas ?
Tu- ?
Ha, disons que c’est une intuition. Ou, qui sait, peut-être « l’infinie sagesse » dont m’a fait cadeau notre Déesse… ? Quoiqu’il en soit, il semblerait qu’elle et le Grand Dragon vous aient faits différents de nous autres, voilà ce que je retiens, Qilby. Vous êtes différents.
…
Mais… Cela ne change rien au fait que nous formons une famille, Qilby. Grand-frère Qilby peut-être ?
Mina…
Et au sein d’une famille, l’on s’entraide. On échange, on communique. Il arrive parfois que nous ne soyons pas d’accord, mais l’on cherchera toujours à surmonter ces difficultés, car on sait, au fond de nous, que l’on ne peut pas vivre seuls.
Pourtant, parfois… Il arrive des moments où l’on ne peut plus réparer ces fissures, car elles ont fini par devenir trop nombreuses… Trop profondes. Et c’est alors que nous devons-
Non… Pitié…
Hum ?
Ne me demande pas ça…
Q-Qilby, mais enfin… ?
Ne me demande pas de choisir, toi aussi ! Ne me force pas à choisir ! Je- ! Je ne peux pas ! Je ne veux pas !
Qilby…
Pitié, Mina… Tout mais pas ça…
.
Qilby?
Hum?
Chibi, Glip, Nora, Yugo et moi-même… Nous sommes condamnés à oublier notre passé. C’est la raison pour laquelle, je pense, certains sont aussi attachés au présent. Ils veulent défendre ce que nous possédons aujourd’hui, car ils ne savent pas ce que nous avons déjà pu perdre hier. Ils ont peur que nous perdions tout ce que nous avons mis à construire… Mais toi, Qilby, tu sais déjà tout cela, hum ? Tu l’as déjà, en quelques sortes, perdu.
Mais je ne veux pas vous- !
Je sais, je sais… Ce que je veux dire, c’est que ton don t’a offert le passé. Le problème, c’est qu’il t’y enchaîne… au point que tu ne puisses plus y voir ni présent, ni avenir.
Alors… Que dois-je faire, Mina ?
Ce n’est pas à moi de te donner une réponse, Qilby. Moi aussi, j’ai oublié. Moi aussi, j’ai peur. J’ai peur de voir notre peuple courir au-delà du danger, j’ai peur de voir ceux que j’aime périr… J’ai peur de te voir partir, toi aussi, Qilby.
…
Cependant… Plus encore, j’ai peur de te voir souffrir. Et je vois bien que… Cette « situation » ne te convient pas, ou du moins plus autant qu’elle a pu te convenir autrefois. Nous avons changé, mais toi, tu es resté le même. Ce voyage dont tu parles… Il comporte de nombreux risques, autant pour vous deux que pour nous. Mais voilà ce qu’ils sont : des risques. Et… Je te croie capable de les surmonter, Qilby, car de nous tous…
.
Tu es le seul fait pour voyager.
.
.
Merci… Ma petite luciole.
Où dois-je mettre cette caisse ?
Oh ! Par ici, s’il-te-plaît ! Et fais attention, elle contient du matériel relativement lourd et-
Qilby, dois-je te rappeler que je peux soulever jusqu’à dix fois ton propre poids ?
Tss, ça va, pas la peine de frimer !
Tu veux dire que je ne dois pas… « Rouler des mécaniques » ?
…
…
Hahahaha !
.
Bon, je crois qu’avec ce dernier chargement, tout sera prêt.
Oui, qui aurait cru que ton laboratoire contenait autant de-
P-professeur ?
Dérelian ?!
.
.
Vous aviez promis de… Vous m’aviez promis !
Je ferai attention à moi, et puis, je-
Pourquoi avoir caché que vous- ?! Alors c’est comme ça que vous avez décidé de partir ?! Dites-moi au moins que vous aviez prévu de- !
Dérelian… Tu sais que je ne pouvais pas-
Menteur ! Vous auriez pu m’en parler ! Vous auriez même DÛ m’en parler !
Jeune fille, je vous assure que Qilby ne-
Toi, le monstre ne me parle pas !
Dérelian !
C’est à cause de vous, pas vrai ?! C’est à cause de toi qu’il veut nous quitter !
Vous… Vous m’aviez promis que…
Dér- Qu’est-ce que tu fais !?
Si vous avez décidé de vous comporter en lâche, alors je me donne le droit de faire de même !!
Non !
.
.
A-aroh… ! S’il-te-plaît… !
Qil-by ? Et la fille… ?
Dérelian, elle… Elle est…
Je vois.
Il faut croire que… L’élève tient du… professeur, hé ?
C-ce n’est pas le moment de p-plaisanter ! Dis-moi ce que je dois faire ! C-c’est quoi ce liquide violet ? Pourquoi est-ce qu’il y en a a-autant ?
L-le boitier… Prends… Prends-le…
Très bien, l’espèce de cristal ? C’est fait, j-je l’ai ! Maintenant, q-qu’est-ce que j’en fais ?
…
A-aroh ! Dis-moi comment je peux t’aider ! Qu’est-ce que j’en fais ?!
AROH ! COMMENT ?! DIS-LE-MOI !!
.
.
.
Adieu, à toi aussi…
-trois blessés. Dix morts.
T-tant que ça ? Mais enfin, hier il-
C’est terminé, Mina.
Chibi ?
Glip, ordonne l’évacuation des Quartiers Nord. Condamnez la Galerie de l’Hiver et allez mettre nos Dofus en lieu sûr. L’Arcaneum devrait faire l’affaire.
.
.
Encore… ? C-c’est le quatrième depuis ce matin… !
Mina. Il va falloir riposter.
M-mais… Ce ne doit être qu’une effroyable méprise, nous-
Mina !
…
C’est terminé, Mina.
.
Et Qil- ?
Ne prononce pas son nom !
.
Ils ont demandé un… « tribut » pour le sang des leurs. Ce « Aroh »… Peu importe ses intentions initiales, il faut regarder la vérité en face : sa mort nous coûte bien plus que sa vie ne nous a jamais apporté !
Tu as raison Chibi. Quels sont tes ordres ?
Glip… ?
Il a raison Mina, nous ne…
Nora, alors toi aussi tu- ?
Nous ne pouvons pas continuer ainsi. À laisser les nôtres se faire massacrer !
Ne devrions-nous pas alors demander à… à Qilby ?
Et pour quoi faire, hein ?! Cela va faire deux semaines qu’il n’est pas sorti de son foutu trou à rat ! Même Shinonomé n’est pas parvenue à l’en faire sortir !
Peut-être, mais…
C’est trop tard, Mina.
.
Nous avons tenté d’établir la paix…
.
.
Mais la paix est faite pour être rompue.
Qilby -Jusqu’ici- Venir
…
La peine -Dans tes yeux- Zinit -Lire-
Le feu -Sous la Montagne- Sentir
…
Le Dragon Rubis -Shinonomé-
Elle est morte.
.
J’ai… J’ai échoué, Zinit. Je ne suis pas parvenu à… à choisir. Mais avant de partir, je voulais…
Partir -Toi- Vouloir
Mais -Nulle Destination- Avoir
…
-Qilby-
…
Zinit -Ta rage- Voir
Ta peine -Compatir-
…
Mais -Dernière chance- Exister
.
.
Alors vous voulez dire que… Ce cube. Le…
Chacun -Sa place- Avoir
Orgonax – Le Corps
Zinit – La Tête
-Aroh-
Le cœur…
.
Nous pourrions… ! Oui ! Cela devrait fonctionner ! Il y a juste encore assez d’énergie pour- ! Mais… et vous ? Et les vôtres ?
Enfants d’Érasme -Seuls- Survivre
Demain -Un nouveau Zinit- Naître
Zinit -À vos côtés- Dernier voyage -Mener-
Et Orgonax… ?
…
Il… Il ne s’arrêtera pas, n’est-ce pas ?
Aroh -Son cœur- Être
Protéger -Sa mission- Demeurer
Je comprends. Alors… Nous ne cesserons jamais de fuir. Nous ne… trouverons jamais la paix. Mais si c’est le seul moyen, alors…
Un espoir -Exister-
Vraiment ? J’ai du mal à le concevoir.
Ton cœur -Meurtri- Être
Mais -Avenir- Enfants de l’Étoile Bleue -Avoir-
Étudier -Orgonax- Devoir
Vaincre -Orgonax- Pouvoir
Cela est-il… possible ? Et, pensez-vous seulement que cela soit… juste ? Après tout ce que nous… ce que j’ai- ?
Qilby
Désolé -Mon coeur- Être
Car -Seul- Désormais -Toi- Rester
.
.
Nos Routes -Aujourd’hui- Se séparer
Mais -Notre cœur- Avec toi -Demeurer-
.
Et -Le tien-
Avec -Nous-
Qilby !! Qilby ! Les lumières du Cadran Sud ont encore sauté : on manque d’énergie ! Il faut absolument qu’on- !
Je sais, Chibi, je sais !
Et le Cube ? Où ça en est ?
Tes… Tes plans ont fonctionné. Il est stable à présent.
Ah ! Enfin une bonne nouvelle sur ce maudit rafio !
Un peu de respect, je te prie. Il s’agit de-
Je ne veux même pas entendre ce nom, c’est clair ?
Chi- !
Il est un peu tard pour ce genre de considérations, Qilby. Retourne à ton poste.
.
Chibi ! Qilby ! Je crois qu’on a encore perdu en vitesse par rapport à tout à l’heure, vous devez venir voir ça !
Hum… Je prends la salle des machines.
Très bien, je m’occupe du tableau de bord.
.
J’ai f-froid… J’ai s-si froid… !
Je sais, petite étoile, je sais… Tiens, prends donc cette couverture et va te blottir avec les autres là-bas. Ça va aller.
D-dites, P-professeur Qilby, pourquoi est-ce qu’il fait si noir dehors ?
Eh bien, c’est ce que l’on appelle… le vide du Krosmoz.
M-mais le Krosmoz n’est pas censé être p-plein de Wakfu ?! Pourquoi on ne peut presque plus le s-sentir ? Est-ce que c’est le vide qui l’a m-mangé ?
…
Est-ce que n-nous aussi le vide, il va n-nous… ?
Hey… Kamide, c’est ça ?
Hum ?
Dis-moi, Kamide... Est-ce que l’on t’a déjà montré la constellation du Grand Dragon ?
.
.
Et là ?! Et là ?!
Là, il s’agit de l’étoile du Casterneau. Vous voyez, les trois trainées lumineuses qui s’opposent à l’étoile du Pic ? Et bien l’on raconte qu’un jour, un Casterneau, le cœur ampli d’ambition, souhaitait cueillir la plus belle fleur de la montagne la plus haute et dangereuse qu’il soit, ce pour l’offrir à sa dulcinée…
C’est quoi une dulci-nez ?
Dulcinée, son amoureuse.
Moi je l’savais !
Pas la peine de t’la ramener, Bwananas !
Haha, du calme, du calme !
Et après ?! Après ?!
Alors, incapable de voler jusqu’au sommet, il décida de construire un barrage gigantesque pour aller chercher son bien. Cependant, pris dans son élan, et rejetant une à une les fleurs qu’il croisait lors de son ascension, il finit par monter si haut… ! Si haut… ! Si haut qu’il finit par percer le ciel pour atterrir parmi les étoiles !
Waaahh…
Et aujourd’hui encore l’on raconte qu’il cherche à travers cette infinité dans l’espoir de trouver celle digne de sa chère et tendre…
.
.
Hey… Shin’ ?
Comment… ?
Comment faisions-nous au départ déjà ?
Tu sais, quand… Nous étions que tous les douze ?
Je me souviens… Des repas ensemble, des bains à donner, des couches à changer… Des moments de jeux, mais aussi ceux de… Enfin bref.
.
Mais, c’est étrange, Shinonomé, car même si… si nous avons pu sauver pas mal des nôtres. Si notre famille est parvenue à survivre, je…
.
Tu me manques, Shinonomé.
~ Fin de la partie 2/3 du chapitre 10
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Être Avec Toi - Kate Bishop
Marvel Masterlist
Résumé : Après avoir fait un cauchemar dans lequel tu mourais, Kate a peur que tu ne sois pas en sécurité avec elle, mais elle ne sait pas comment t'en parler.
Warnings : mort de personnage en rêve, mention de la mort de Natasha, anxiété, angst, hurt/comfort, fin heureuse, dites-moi si j'en ai oubliés d'autres.
Nombre de mots : 2.7k
Version anglaise
Channson qui m'a inspiré : Talk Too Much par Reneé Rapp
La peur se lisant sur son visage, Kate a les yeux grands ouverts posés sur toi. Son arc armée d’une flèche, elle ne sait pas si elle doit tirer ou trouver une autre solution pour te sauver. Au bord du toit d’un immeuble, Wilson Fisk a son bras autour de ton cou alors que son autre main tient un pistolet contre ta tempe. Ton corps tremble et tes yeux sont remplis de larmes alors que tu regardes Kate, complètement apeurée.
-Tu devrais m’écouter, Kate, et me donner ce que je veux ou tu peux dire adieu à ta copine, menace Fisk d’une voix dure. Si tu l’aimais vraiment, tu l’aurais déjà sauvée.
-Je ne vais rien vous donner.
-Tu en es sûre ? dit-il avant de te tirer dans la jambe pour prouver à Kate qu’il est sérieux.
-Lâchez-la ! s’écrie Kate suite à ton cri de douleur.
-Tu sais ce que tu as à faire pour que je la laisse en vie.
-Je vais vous le donner, laissez-la partir.
-Kate, non ! cries-tu alors que Fisk resserre son emprise autour de ton cou.
À contrecoeur, Kate détend son arc avant de le poser délicatement au sol tout en te regardant comme pour essayer de te rassurer. Kate enlève le sac à dos qu’elle porte et le balance vers Fisk. Un sourire machiavélique sur le visage, Fisk relâche sa prise, mais il ne laisse pas partir pour autant. Tu arrives à respirer un peu plus facilement quand Fisk te balance d’un coup sur le côté et se saisit du sac. Tu hurles en te sentant partir vers le vide. Ton corps passe de l’autre côté quand une main saisit la tienne. En relevant la tête, tu vois Kate te tenant de toutes ses forces.
-Ça va aller, je te tiens ! Je vais te remonter. Tiens bon, te rassure-t-elle en essayant de te remonter alors que Fisk fuit les lieux.
-Kate, j’ai plus de force.
Une larme coule sur ta joue en disant ta phrase. Tu es physiquement épuisée. Fisk t’a enlevé une journée entière pour tendre un piège à Kate et il n’a pas été tendre avec toi. Il est reconnu pour sa cruauté et tu en as fait les frais. Toutefois, tu mets toutes tes forces pour aider Kate à te hisser, en vain.
-Je vais trouver une solution. Je vais te remonter. Je vais y arriver, répète Kate autant pour se réconforter elle que toi.
En plus de la peur, l’acceptation prend possession de ton corps. Tu sais qu’elle n’y arrivera pas, Kate a beau être forte, tu sens tes mains lentement glisser des siennes alors, tu la regardes tendrement avec un sourire qui se veut rassurant.
-Ça va aller, Kate. Je t’aime.
La panique de Kate se stoppe en entendant ta phrase, c’est la première fois que tu dis “je t’aime”. Vous n’êtes ensemble que depuis trois mois et jusqu’à cet instant, vous n’aviez pas osé dire ces trois mots.
-Je vais réussir à te remonter, je t’ai dit ! Ne me dis pas ça comme si…
-Kate, c’est pas grave, dis-tu doucement.
-Non, arrête. Je…
Kate n’a pas le temps de finir sa phrase que tes mains lui échappent et tu tombes de l’immeuble. Elle hurle ton prénom à s’en déchirer les poumons, la vision de ta chute se gravant dans sa mémoire. Le bruit de ton corps percutant le sol retentit et Kate n’arrive pas à détourner les yeux de toi.
Kate prend une grande inspiration en s’asseyant sur son lit, la respiration haletante. Une main posée sur sa poitrine, elle essaye de se remettre de ce cauchemar. Le réveil brutal de ta petite amie t’a sorti de ton sommeil. Tu te retournes et vois Kate agitée. Tu t’assois et pose une main sur épaule, la faisant se tourner vers toi brusquement, la peur quittant ses yeux pour être remplacée par le soulagement. Tu as à peine le temps de voir une larme couler sur sa joue que Kate se jette dans tes bras.
-Qu’est-ce qui ne va pas ? demandes-tu, inquiète.
-Tout va bien, tu es là.
-Tu n’as pas l’air bien.
-Je vais bien, ne t’inquiète pas. J’ai juste fait un rêve, ment-elle en reculant légèrement et avec un faux sourire.
-Tu veux qu’on en parle ? Il a l'air de t’avoir secoué.
-Pas besoin. Ce n’était rien. C’était un rêve débile, il ne représentait rien. Je vais bien, dit Kate rapidement avant de se lever du lit. Je dois partir, j’ai entraînement dans peu de temps. Tu peux rester là, si tu veux ou tu peux faire autre chose, comme tu veux, mais je vais sûrement rentrer tard. Fais attention à toi et appelle-moi s’il y a quoique ce soit de bizarre.
Kate finit sa tirade en t’embrassant chastement avant de fuir sa chambre comme s’il y avait le feu. Tu regardes par où elle est sortie, complètement perdue. Malgré ce qu’elle a dit, tu as vu clair dans son jeu et tu sais que ce cauchemar l’a perturbée. Tu te dis que tu essayeras de lui en reparler plus tard quand elle sera calmée.
Les jours suivants, le cauchemar de Kate continue à la hanter et elle n’ose toujours pas t’en parler. Son rêve l’a fait se remettre en question, surtout sur votre relation. Bien qu’elle ne l’ait jamais dit à voix haute, elle t’aime et elle ne veut pas te perdre. Cependant depuis qu’elle est devenue une justicière après sa rencontre avec Clint Barton, elle doit prendre en compte les nouveaux dangers. Clint lui a déjà un peu parlé de Natasha et même si Natasha n’est pas décédée dans les mêmes circonstances que toi dans son cauchemar, le fait est que les Avengers sont en danger perpétuels et par extension leur proches. Et puis, depuis que la mère de Kate est partie en prison, elle a de plus en plus peur de perdre ceux qu’elle aime.
Kate a pris conscience de tout ce que ça représente d’être avec elle et elle n’est pas sûre que tu le saches. Kate a peur de causer ta perte à cause de ses choix de vie donc elle veut t’éloigner, mais elle veut également te garder auprès d’elle, même si elle sait que ça serait égoïste de sa part. Elle devrait t’en parler, cependant si elle le fait, elle partira dans une spirale en disant trop et probablement en rompant avec toi, car ses peurs grandissent de jour en jour donc elle préfère rester silencieuse.
Bien évidemment, ce changement de comportement n’est pas passé inaperçu. À de nombreuses reprises, tu as tenté de la mettre à l’aise sans être trop directe, de peur de la braquer, mais elle a toujours évité le sujet.
Elle ne mentionne pas son cauchemar même une semaine plus tard et elle reste perdue dans ses propres pensées. Ça la tue de prendre ses distances avec toi. Tu essayes de parler avec Kate autant que tu le peux, mais c’est comme parler dans le vide et pourtant, tu continues à lui parler, même si Kate ne semble pas y prêter attention.
Un jour, pendant que vous marchez dans la rue, tu racontes à Kate comment s’est passé ton dernier examen. Comme à ton habitude, quand tu discutes, tu ne regardes pas où tu vas, te focalisant sur ton interlocutrice. Alors que tu parles de ton ressenti général sur le partiel, tu sens juste Kate te tirer violemment en arrière puis tu vois une voiture bleue rouler vite et klaxonner.
-Ça va ? Tu n’as rien ? questionne Kate, inquiète, en cherchant une potentielle blessure.
-Grâce à toi, je vais bien.
-Tu dois vraiment apprendre à regarder devant toi quand tu parles, surtout dans la rue ! rétorque-t-elle, agacée. Si je n’avais pas été là, tu aurais pu avoir un accident ! Il roulait hyper vite, il aurait pu te renverser, tu t’en rends compte ? Comment tu peux être aussi insouciante ! Tu m’as fait peur ! Imagine si je n’avais pas vu la voiture, tu serais morte devant moi !
-Mais tu l’as vu à temps et tu m’as tiré avant qu’elle me percute. Je vais bien, Kate, il y a eu plus de peur que de mal, affirmes-tu calmement, espérant faire redescendre la pression.
-Parce que tu as eu de la chance ! Tu n’en auras pas toujours, il peut t’arriver quelque chose à n’importe quel moment.
La respiration de Kate se fait de plus en plus haletante et tu comprends que ça va plus loin qu’un chauffard qui aurait pu te renverser. Tu forces Kate à te regarder avant de dire sur un ton rassurant :
-Kate, respire. Je vais bien, tu vas bien, on va bien toutes les deux.
-J’ai eu peur.
-Je sais. Viens, on va chez moi, l’invites-tu en commençant à l’amener dans la direction opposée.
-Mais tu voulais t’acheter ton nouveau livre, proteste Kate, perdue.
-J’irai un autre jour. On devrait rentrer, loin des voitures, dis-tu avec un petit sourire, mais Kate n’est pas d’humeur à rigoler. Trop tôt ?
-Oui, deux minutes après ton presque accident, c’est trop tôt.
-Désolée. Allez, viens, dis-tu en prenant la main de Kate.
Vous faites le chemin inverse jusqu’à chez toi tandis que tu caresses sa main avec ton pouce pour la réconforter. La réaction de Kate te confirme que tu dois la faire parler, même si tu dois la forcer. Quelque chose ne va pas, elle est angoissée, surtout par rapport à toi et tu ignores la raison.
Quand vous arrivez dans ton appartement étudiant, tu la laisses s’installer sur ton canapé pendant que tu prépares des chocolats chauds ; peu importe la saison, Kate adore les boire. Tu espères que la boisson chaude la mettra plus à l’aise pour parler. Une fois les chocolats chauds prêts, tu la rejoins sur le canapé. Tu la laisses boire quelques gorgées avant de prendre la parole :
-Kate, on doit en parler.
-Je ne veux pas en parler, déclare-t-elle en évitant ton regard.
-Tu es clairement stressée par rapport à quelque chose, tu ne peux pas rester dans ta peur seule. Parle-moi.
-Je…, commence Kate avec hésitation, je me demande si tu sais vraiment de quoi tu t’es engagée en sortant avec moi et si ce n’est pas le cas alors je me demande si tu voudras encore de moi quand tu le réaliseras.
-Pourquoi tu dis ça ?
-Tu es morte, annonce-t-elle de but en blanc.
-Kate, la voiture ne m’a pas renversé.
-Dans mon rêve.
-Celui de la semaine dernière ? Pourquoi tu m’en as pas parlé ? demandes-tu, commençant à comprendre la situation.
-Tu es morte et c’était de ma faute.
-Je suis sûre que ce n’est pas vrai.
-Si, ça l’est, insiste Kate, les larmes aux yeux. Fisk m’avait retrouvé et il voulait mon sac, j’ignore ce qu’il y avait de si précieux dedans, mais il ne lâchait pas l’affaire et pour me forcer à le lui donner, il t’a enlevé. Il t’a tiré dans la jambe et quand je lui ai enfin donné le sac, il t’a balancé du haut de l'immeuble - parce que oui, on était sur le toit d’un immeuble - et j’ai essayé de te retenir, mais je n’avais pas assez de force pour te remonter et… et tu es tombée, raconte-t-elle, la voix se brisant à sa dernière phrase. Tu es morte et c’était de ma faute. Si j’avais écouté Fisk plus tôt, si j’avais eu plus de force…
-Kate, ce n’était qu’un rêve, l’interromps-tu en prenant sa main dans la tienne.
-On aurait pas dit un rêve, ça avait l’air réel et ce rêve m’a fait réfléchir, rétorque Kate en posant sa tasse sur la table basse. À n’importe quel moment, il peut être réel. Maintenant que j’ai travaillé avec Hawkeye et avec ma mère qui était dans les affaires de Fisk, je peux être une cible à tout moment et je ne veux pas que tu sois blessée par ma faute. Je tiens trop à toi pour te perdre, surtout si c’est de ma faute. Et même si je ne suis pas Spider-man ou Captain America, avec le temps, je pourrai avoir des ennemis encore plus redoutables que Fisk et Fisk est déjà assez horrible. Ce rêve a été comme un déclic, je peux pas être avec toi, car ça veut dire que tu es en danger et tu te mets déjà assez en danger quand tu parles dans la rue sans regarder où tu vas. Qui marche sans regarder où il va sérieusement ? divague-t-elle avant de reprendre son cheminement de pensées. Le fait est qu’en sortant avec moi, tu te mets en danger et c’est quelque chose qu’il faut que tu gardes en tête, ajoute Kate avant de prendre une grande inspiration. Bref, maintenant que je t’ai dit tout ça, est-ce que tu veux encore être avec moi ? Parce que moi, je veux être avec toi, peut-être même pour toujours, merde, peut-être pas pour toujours. Ce que je veux dire ce n’est pas “pas pour toujours”, ajoute Kate en te laissant pas une seconde pour répondre. En fait, je ne sais même pas ce que je veux dire. Tu m’en veux parce que je te pousse à rompre avec moi à cause d’un stupide cauchemar ? Tu m’en veux, c’est sûre et je comprends si c’est le cas, je m’en fiche. C’est juste qu’avec ce rêve, j’arrête pas de me demander si ce n’est pas un signe, comme un rêve prémonitoire, tu vois et si c’est le cas, je m’en voudrais de ne pas t’avoir protégé en te donnant une porte de sortie quand il était encore temps. Et, oh mon Dieu, je crois que je parle trop, se dit Kate à elle-même. Je parle trop, hein ? C’est sûr, je devrais te laisser parler. Comme t’as dit, on devrait parler et… Ah! Ferme-la, putain ! crie-t-elle, frustrée.
-J’ai rien dit ! réponds-tu en levant les mains en l’air innocemment.
-Pas toi, désolée, je voulais dire moi, se corrige Kate, un air coupable sur le visage. Je voulais dire que je devrais me la fermer et te laisser parler.
-Je peux y aller ? demandes-tu après l’avoir laissée respirer tranquillement, quand elle hoche la tête, tu reprends la parole : Kate, je comprends que ton cauchemar t’a secoué, mais ça ne veut pas dire qu’il se produira. Et puis, je savais dans quoi je m’engageais en sortant avec toi - tu t’es vantée d’avoir travaillé avec Hawkeye pendant notre premier rendez-vous donc, je savais pour le côté justicier, potentiels ennemis et j’ai quand même accepté de faire un deuxième rendez-vous avec toi. J’ai conscience de tout ça et malgré tout, je ne veux pas qu’on se sépare, surtout pas à cause d’un rêve, ajoutes-tu d’un ton doux, mais ferme. Et puis, je ne voudrais pas te laisser seule. Être une justicière est déjà assez compliqué, tu ne peux pas t’isoler. Tu dois me parler quand ça ne va pas, surtout quand c’est au point où ça te rend malade. Je veux rester avec toi. Je ne sais peut-être pas tirer à l’arc ou me battre, mais je peux être là pour toi. Je veux être là pour toi. T’auras beau essayer de me donner toutes les portes de sortie du monde, je veux encore être avec toi. Je t’aime Kate, confesses-tu en la regardant dans les yeux.
-Tu m’aimes ? questionne Kate, étonnée.
-Bien sûr.
-Wow, je pensais pas qu’on avait atteint ce stade dans notre relation et je pensais surtout pas que tu le dirais pendant qu’on a ce genre de conversation. Enfin, techniquement dans mon cauchemar, tu me l’as dit avant de mourir, mais on devrait oublier ce cauchemar. Enfin bref, j’imaginais que tu le dirais pendant qu’on ferait quelque chose de plus romantique. Mon Dieu, je divague encore, n’est-ce pas ?
Tu rigoles légèrement en posant tes mains de part et d’autre du visage de Kate avant de l’embrasser. En sentant tes lèvres sur les siennes, les peurs de Kate se calment enfin. Le baiser dure seulement quelques secondes afin de permettre à Kate de se concentrer sur autre chose, mais il n’en est pas moins rempli d’amour et de tendresse. Quand tu brises le baiser, Kate te fait un sourire que tu trouves mignon.
-Je t’aime aussi, dit-elle en caressant ta main droite encore posée sur sa joue.
-Je t’aime et je veux être avec toi, Kate Bishop, peu importe ce que tu peux dire pour m’en dissuader.
À tes mots, le sourire de Kate s'agrandit, contente d’avoir pu trouver quelqu’un d’aussi compréhensive et gentille que toi. Elle n’aurait pas pu rêver une petite amie plus adorable dans ce monde de brute.
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Printemps 1929, Hylewood, Canada (5/5)
Cette lettre n’est pas très joyeuse, j’en suis désolé. J’espère que la prochaine ramènera son lot de bonnes nouvelles. Je n’ai fait que parler de moi, je n’ai même pas répondu à ce que tu me dis. Je suis sincèrement désolé pour la perte de ta grand-mère. Maman a écrit une lettre à tes parents dès qu’on a reçu la nouvelle, mais je tenais à te l’écrire moi-même aussi. Quand j’y pense, c’est la dernière qu’elle leur aura envoyé… Avant qu’on l’on reçoive votre télégramme, j’espère que l’état d’Eugénie ne s’était pas trop dégradé… J’étais content pour Ange et toi que vos responsabilités se soient accrues dans votre propre maison, mais beaucoup moins de ce que cela impliquait. Je suis navré de voir que ces craintes étaient fondées.
Les affaires d’Antoine avec Mlle Laroche se sont-elles concrétisées depuis l’année dernière ? Avec tout ce qu’il se passe ici, j’ai besoin d’occuper l’esprit avec des choses triviales et gaies.
Je t’embrasse affectueusement,
Lucien LeBris
[Transcription] Irène Bernard : Je… je ne suis pas certaine de ce qu’il vient de se passer. Irène Bernard : Je ne suis pas sûre que tu aies remarqué que tu viens de m’embrasser. Lucien LeBris : Je te rassure, non, je n’ai pas glissé. Irène Bernard : Lucien… Est-ce que tout cela est bien sage ? Je vais sûrement bientôt devoir retourner au pensionnat, et toi, tu n’as aucune situation… Lucien LeBris : On vient de passer plusieurs semaines à la mettre en place, ma situation. Irène Bernard : Ne fais pas l’enfant. Tu sais ce que je veux dire. Lucien LeBris : Doit-on forcément être si sérieux ? On est jeunes tous les deux. Un baiser, ce n’est pas une demande en mariage. Irène Bernard : J’ai des projets que je souhaite réaliser. Toi aussi. Mais ces dernières semaines ont été tellement amusantes… Alors… d’accord. Mais ne soyons pas idiots. Lucien LeBris : C’est compris. Je serai sage.
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Ne te retourne pas..Ne regarde pas en arrière..Bombe le torse, relève la tête et avance. Le meilleur est devant toi.
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Candaulisme
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
« Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes...
« Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas à l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
« Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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